
His parks and suburbs were designed not so much to be looked at, but rather, so as to display social relations: to see other people interact in a civilized manner. Olmsted replaced the notion of scene in his works with that of medium. Instead of being modeled after framed landscapes, his designs would become frames in themselves. This shift had an impact on the very notion of frame. Therefore, to him, landscape architecture’s working materials were living and ever-changing objects whcih could not be fixed in a single view or series of views. Olmsted spoke of landscapes as entities that should be experienced rather than represented. Emerson, naturalists like H.D. Thoreau, or writers like N. Hawthorne or H. Melville. This idea was a recurring one in the works of intellectuals like R.W. It is argued that Olmsted was influenced by a current of thought of his time that viewed painting and photography as superficial or even false representations of nature.

This article focuses on Frederick Law Olmsted’s rejection of landscape representation in general and, particularly, of paintings as models for scenery. Ainsi, ses créations sont devenues des cadres qui ont élevé la vie sociale moderne au rang de catégorie esthétique.

Il allait donc dépasser les catégories esthétiques traditionnelles associées aux peintures, telles que la pastorale ou le pittoresque.

Ses parcs et ses banlieues étaient conçus non pas tant pour être regardés que pour présenter des relations sociales : pour voir d’autres personnes interagir de manière civilisée. Olmsted a remplacé la notion de scène dans ses œuvres par celle de support. Au lieu d’être modelées sur des paysages encadrés, ses conceptions devenaient elles-mêmes des cadres.

Cette évolution a entraîné une modification de la notion même de cadre. Par conséquent, les matériaux de l’architecture paysagère étaient pour lui des objets vivants et en constante évolution, impossibles à fixer dans une seule vue ou une série de vues. Olmsted parlait des paysages comme d’entités qui devaient être vécues plutôt que représentées. Cette idée était récurrente dans les œuvres d’intellectuels comme R.W. Emerson, de naturalistes comme H.D. Il est avancé qu’Olmsted a été influencé par un courant de pensée de son époque qui considérait la peinture et la photographie comme des représentations superficielles, voire fausses, de la nature. Cet article porte sur les critiques formulées par Frederick Law Olmsted à l’égard de la représentation du paysage en général et, en particulier, à l’égard de la peinture comme modèle de paysage.
